vendredi 19 septembre 2008
Le point fort de la fac, c'est la BU
Ce n'est pas moi qui me permets de lancer cette affirmation, bien sûr. Non, il s'agit d'un extrait du témoignage d'une étudiante mis en exergue par la Faculté de Lettres sur la page de présentation de la Licence sur le site de l'Université.
Ça fait toujours plaisir de se sentir soutenu et, s'agissant de la bibliothèque que je fréquente assidument professionnellement depuis trois semaines, ça fait encore plus plaisir de voir le travail des nouveaux collègues reconnu, d'autant plus que je suis certain que cette appréciation ne porte pas seulement sur le bâtiment ouvert au public depuis deux ans maintenant, mais également sur l'ensemble des ressources mises à disposition et sur les services proposés.
Par contre, il est un peu surprenant que les responsables de la Licence de Lettres modernes mettent en valeur ce témoignage, puisque l'étudiante de première année en question explique très clairement qu'elle va se réorienter vers un D.U.T. à l'issue de son année de fac. Mais d'un autre côté, cela permet de relativiser le taux d'échec énorme en première année de Licence de Lettres qui préoccupe tant l'Université. Si la fac permet à un étudiant d'améliorer sa culture générale, de gagner en autonomie et de préciser son projet de vie, je ne pense pas qu'on puisse vraiment parler d'échec, même si c'est comptabilisé comme tel en fin d'année dans les statistiques...
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